Un week-end dans le Jura vaudois

Des 1 et 2 septembre 2018

La section CAS Pierre – Pertuis a osé de me demander de l’accompagner le 1 et 2 septembre dans le Jura vaudois et moi, la Suisse allemande, vais oser maintenant d’écrire un résumé.

J’étais curieuse de découvrir la région de St.-Loup où se rencontre la crème de la crème des grimpeurs internationaux.

On était dix personnes qui se sont données rendez-vous dans le Café de la Gare à Croy : Gigi, l’organisateur avec sa femme Carine, trois autres membres de cette section : Hanspeter, Monique et Jeff et deux grimpeurs ambitieux de Croy : Céline et Vincent et moi, une membre d’une autre section.

Dans le café on a décidé de visiter tout de suite la région St.-Loup. Vincent et Céline nous ont emmenés dans le secteur extrême où il y a aussi de jolies voies en 4c-5c. L’endroit était très beau, mais dans les voies il fallait m’habituer aux prises rondes. Je me souviens que les grands indiens chantent que tout dans la nature est rond, mais toutes les inventions des hommes blancs, les maisons, les télévisions, etc…. sont anguleux. Mais dans le rocher, moi je préfère quelque fois les choses un peu moins rondes…

Le soir on s’est déplacés au chalet du Rocher au-dessous du Chasseron. Là-haut il faisait déjà assez froid et on sentait que l’automne n’était plus si loin. Heureusement on pouvait chauffer la maison. Pendant que nous avons pris l’apéro Vincent, a grillé en dehors nos grillades.

Le matin nous a salué avec un gros brouillard et comme ça on a décidé au lieu d’aller dans le secteur des Aiguilles de Baulmes de retourner encore une fois le secteur St.-Loup. Vincent, Céline et Gigi ont fait tant de corrections dans leur nouveau *guide du CAS et Hanspeter et moi on a grimpé surtout dans le secteur de bonheur. Et ce bonheur a été démontré par le fait que le soleil a brillé pour quelques instants ici dans le Jura vaudois, tandis que dans presque toutes les autres régions les nuages et la pluie ont dominé .

* CAS – Neuchâtel et Nord vaudois, vernissage le 3 mai 2019 à l’ASEN.

Verena Merlo

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